Iznik. L´aventure d´une collection

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Le musée national de la Renaissance est installé dans le château d´Écouen depuis vingt ans.
Au second étage dans une des salles les plus claires du château une collection exceptionnelle de céramique ottomane connue sous le nom d´Iznik est présentée.
Cet ensemble de plus de quatre cent cinquante pièces fut acquis auprès de l´archéologue Auguste Salzmann (1824-1872) qui l´acquit lui-même à l´occasion de son séjour à Rhodes et dans les îles du Dodécanèse entre 1857 et 1868. L´origine géographique de cette collection valut pendant longtemps à cette céramique le nom erroné de "faïence persane de Rhodes". En fait il s´agissait d´une production de la ville d´Iznik l´ancienne Nicée (en Asie mineure) où les ateliers fabriquaient pour la cour ottomane les carreaux destinés à la décoration des grands monuments de l´art musulman : mosquées d´Istanbul ou du Caire palais de Topkapi ou de Damas.
La technique en était particulière puisqu´il ne s´agissait pas de faïence mais d´une terre siliceuse engobée. Dans une première partie les auteurs de ce catalogue retracent les conditions d´acquisition de cette collection autour de la personnalité de l´archéologue Auguste Salzmann. Elle permet de comprendre pourquoi pendant lontemps cette collection fut connue sous l´appellation "faïence persane de Rhodes" et comment elle fut acquise par le musée de Cluny puis déposée au musée national de la Renaissance. Une seconde partie plus technique offre une présentation générale des conditions et de la qualité de la production de la céramique ottomane. L´ouvrage reproduit enfin l´ensemble des pièces conservées au musée national de la Renaissance à travers vingt-trois thèmes : plats à décors italianisants plats à décors de type sinisant (décors d écailles de pampres de médaillons ... ) de bateaux d´aiguières d´animaux plats à personnages et plats à décor floraux. Cette présentation permet de souligner la qualité de chaque pièce tant l´extraordinaire variété des styles que l´époustouflante prouesse des potiers ottomans entre 1530 et le milieu du XVIle siècle.
Cet ensemble de plus de quatre cent cinquante pièces fut acquis auprès de l´archéologue Auguste Salzmann (1824-1872) qui l´acquit lui-même à l´occasion de son séjour à Rhodes et dans les îles du Dodécanèse entre 1857 et 1868. L´origine géographique de cette collection valut pendant longtemps à cette céramique le nom erroné de "faïence persane de Rhodes". En fait il s´agissait d´une production de la ville d´Iznik l´ancienne Nicée (en Asie mineure) où les ateliers fabriquaient pour la cour ottomane les carreaux destinés à la décoration des grands monuments de l´art musulman : mosquées d´Istanbul ou du Caire palais de Topkapi ou de Damas.
La technique en était particulière puisqu´il ne s´agissait pas de faïence mais d´une terre siliceuse engobée. Dans une première partie les auteurs de ce catalogue retracent les conditions d´acquisition de cette collection autour de la personnalité de l´archéologue Auguste Salzmann. Elle permet de comprendre pourquoi pendant lontemps cette collection fut connue sous l´appellation "faïence persane de Rhodes" et comment elle fut acquise par le musée de Cluny puis déposée au musée national de la Renaissance. Une seconde partie plus technique offre une présentation générale des conditions et de la qualité de la production de la céramique ottomane. L´ouvrage reproduit enfin l´ensemble des pièces conservées au musée national de la Renaissance à travers vingt-trois thèmes : plats à décors italianisants plats à décors de type sinisant (décors d écailles de pampres de médaillons ... ) de bateaux d´aiguières d´animaux plats à personnages et plats à décor floraux. Cette présentation permet de souligner la qualité de chaque pièce tant l´extraordinaire variété des styles que l´époustouflante prouesse des potiers ottomans entre 1530 et le milieu du XVIle siècle.