Maximilien de Meuron (1758-1868)

Maximilien de Meuron (1758-1868)
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Exposition : Exposition présentée au Musée d’art et d’histoire, Neuchâtel, du 15 mai au 16 octobre 2016
LES MONDES DE MAXIMILIEN DE MEURON SONT INNOMBRABLES.
Il y a la géographie de ses mondes, bien sûr : le Berlin des études et du début de carrière, Paris et Rome pour le peintre, et – ancré au cœur de cette trinité – Neuchâtel, où s’expriment à la fois l’artiste, le créateur, le citoyen et l’homme. Il y a aussi ces mondes d’hier, effacés par les révolutions et la modernité.
Né en 1785, l’artiste voit plusieurs pages se tourner. L’Ancien Régime de sa naissance est occulté, à son corps défendant, par la Révolution, suivie de l’Empire, puis des révolutions libérales et industrielles. Et, dans ce tourbillon, Maximilien de Meuron peint. Il peint l’Eiger dans sa majesté hiératique ; il peint Rome, ville éternelle. Comme s’il fallait immobiliser les heures, comme s’il fallait figer ces mondes tellement mouvants, comme s’il fallait ancrer le temps qui roule en marées. C’est ce qui fascine chez Maximilien de Meuron : dans une époque virevoltante, dans un monde littéralement éruptif, il pose ce qui est fait pour durer, il porte l’art à sa place de point cardinal, comme la mesure des choses et du temps.
LES MONDES DE MAXIMILIEN DE MEURON SONT INNOMBRABLES.
Il y a la géographie de ses mondes, bien sûr : le Berlin des études et du début de carrière, Paris et Rome pour le peintre, et – ancré au cœur de cette trinité – Neuchâtel, où s’expriment à la fois l’artiste, le créateur, le citoyen et l’homme. Il y a aussi ces mondes d’hier, effacés par les révolutions et la modernité.
Né en 1785, l’artiste voit plusieurs pages se tourner. L’Ancien Régime de sa naissance est occulté, à son corps défendant, par la Révolution, suivie de l’Empire, puis des révolutions libérales et industrielles. Et, dans ce tourbillon, Maximilien de Meuron peint. Il peint l’Eiger dans sa majesté hiératique ; il peint Rome, ville éternelle. Comme s’il fallait immobiliser les heures, comme s’il fallait figer ces mondes tellement mouvants, comme s’il fallait ancrer le temps qui roule en marées. C’est ce qui fascine chez Maximilien de Meuron : dans une époque virevoltante, dans un monde littéralement éruptif, il pose ce qui est fait pour durer, il porte l’art à sa place de point cardinal, comme la mesure des choses et du temps.