XXI, 18. Printemps 2012. Nos cousins d´Europe

XXI, 18. Printemps 2012. Nos cousins d´Europe
16,10 €
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Ce numéro de printemps paraît au coeur de la campagne présidentielle française. Lorsqu’il sera remplacé par le numéro suivant sur les tables des libraires, le second tour des législatives aura rendu son verdict. Durant ces trois mois, l’actualité politique aura envahi encore davantage toute la presse française. Toute ? Non, un irréductible trimestriel résiste à cette marée de commentaires ! Le silence de XXI n’est pas une surprise pour les aficionados. Un lecteur maniaque pourra relire nos 3 780 pages publiées depuis janvier 2008 sans y trouver les noms des acteurs politiques français et des candidats à la présidentielle, à part quelques occurrences du président sortant (elles se comptent sur les doigts d’une seule main).
Pourquoi ce choix ? D’abord parce que XXI est une revue francophone, ouverte sur le monde et le coin de la rue. 99 % des lecteurs de XXI habitent en dehors de Neuilly et des quelques arrondissements de Paris où se brassent politiques, journalistes, hauts fonctionnaires, communicants et cadres dirigeants. Deux ou trois petits milliers de « décideurs » vivent dans les mêmes lieux, arpentent les mêmes rues, et leurs enfants fréquentent les mêmes écoles. Évidemment, ils lisent les mêmes médias et s’y retrouvent comme par magie, sans se rendre compte que, lus depuis Ploërmel ou Bergerac, Bruxelles ou de Rio de Janeiro, les quotidiens, les sites d’info et les news français paraissent déconnectés du réel. Ils parlent aux politiques, dans un entre-soi dont les lecteurs sont des spectateurs désabusés. Or c’est justement ce réel qui intéresse XXI.
Pourquoi ce choix ? D’abord parce que XXI est une revue francophone, ouverte sur le monde et le coin de la rue. 99 % des lecteurs de XXI habitent en dehors de Neuilly et des quelques arrondissements de Paris où se brassent politiques, journalistes, hauts fonctionnaires, communicants et cadres dirigeants. Deux ou trois petits milliers de « décideurs » vivent dans les mêmes lieux, arpentent les mêmes rues, et leurs enfants fréquentent les mêmes écoles. Évidemment, ils lisent les mêmes médias et s’y retrouvent comme par magie, sans se rendre compte que, lus depuis Ploërmel ou Bergerac, Bruxelles ou de Rio de Janeiro, les quotidiens, les sites d’info et les news français paraissent déconnectés du réel. Ils parlent aux politiques, dans un entre-soi dont les lecteurs sont des spectateurs désabusés. Or c’est justement ce réel qui intéresse XXI.