Eloge de la folie : illustré par les peintres de la Renaissance d

Eloge de la folie : illustré par les peintres de la Renaissance d
Traducció: traduit du latin et du grec ancien par Claude Blum
Editorial: Diane de Selliers
Pàgines: 1 vol.
Any: 2018
EAN: 9782364370920
68,60 €

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Cette édition replace le chef-d’œuvre humaniste d’Érasme dans son contexte historique et culturel, et révèle la puissance et la modernité de ce texte intemporel.
L´édition reproduit les 82 dessins d’Holbein qui illustrent cette « déclamation » ainsi que 200 peintures des plus grands artistes allemands et flamands, fascinés par le thème de la folie et des vices humains. La folie était déjà un thème récurrent chez les artistes du nord de l’Europe au XV? siècle. Jérôme Bosch, avant Érasme, peint les travers et les péchés des hommes, fous de se détourner de la voie de Dieu. Quelques décennies plus tard, Breughel met en scène leurs joies et leurs faiblesses : ses scènes de kermesse dansent autour de la folie ; des tableaux comme La Parabole des aveugles révèlent l’inévitable fatalité mais aussi le ridicule pathétique engendré par la misère humaine. Âgé de dix-huit ans seulement, Holbein, admis au cercle humaniste de Bâle, a déjà une bonne maîtrise du latin qui lui permet d’interpréter les passages complexes de l’Éloge de la folie. Il réalise ainsi ses 82 dessins, tâche ardue qu’il accomplit en dix jours à peine, témoignage de son érudition et de son indépendance d’esprit. Ces dessins, nettoyés des dommages du temps par Félix Médioni, sont publiés pour la première fois en face des passages concernés, et sont analysés par Yona Pinson.
L´édition reproduit les 82 dessins d’Holbein qui illustrent cette « déclamation » ainsi que 200 peintures des plus grands artistes allemands et flamands, fascinés par le thème de la folie et des vices humains. La folie était déjà un thème récurrent chez les artistes du nord de l’Europe au XV? siècle. Jérôme Bosch, avant Érasme, peint les travers et les péchés des hommes, fous de se détourner de la voie de Dieu. Quelques décennies plus tard, Breughel met en scène leurs joies et leurs faiblesses : ses scènes de kermesse dansent autour de la folie ; des tableaux comme La Parabole des aveugles révèlent l’inévitable fatalité mais aussi le ridicule pathétique engendré par la misère humaine. Âgé de dix-huit ans seulement, Holbein, admis au cercle humaniste de Bâle, a déjà une bonne maîtrise du latin qui lui permet d’interpréter les passages complexes de l’Éloge de la folie. Il réalise ainsi ses 82 dessins, tâche ardue qu’il accomplit en dix jours à peine, témoignage de son érudition et de son indépendance d’esprit. Ces dessins, nettoyés des dommages du temps par Félix Médioni, sont publiés pour la première fois en face des passages concernés, et sont analysés par Yona Pinson.