Journal du voleur

Journal du voleur
«Je nomme violence une audace au repos amoureuse des périls. On la distingue dans un regard, une démarche, un sourire, et c´est en vous qu´elle produit des remous. Elle vous démonte. Cette violence est un calme qui vous agite. On dit quelquefois : "Un gars qui a de la gueule." Les traits délicats de Pilorge étaient d´une violence extrême. Leur délicatesse était violence...»